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Jules Hardouin-Mansart - 1646-1708Édité par Alexandre Gady Préface de Andreas Beyer Photographies de Georges Fessy |
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« Voic une monographie dont la rigueur n'a d'égale que la beauté. Et qui se lit comme un roman d'apprentissage…»
- L'estampile/L'objet d'art Tiré du compte rendu de Emmanuelle Laurent publié dans L'estampille/L'objet d'art, n°463, déc. 2010, p. 92.
« Cet ouvrage s'inscrit dans la tradition des "œuvres complètes" tout autant que celle des encyclopédies monographies, en offrant des regards croisés des meilleurs spécialistes sur l'auteur du Dôme des Invalides, la galerie des Glaces, la chapelle royales de Versailles, la place Vendôme. Le lecteur découvrira par ailleurs de nombreux éclaircisseemnts sur l'œuvre, mais aussi des édifices inédits.».
- Bulletin de la Société française des architectes Extrait paru dans le Bulletin de la Société française des architectes, 48/1er semestre 2011, p. 17.
« Le catalogue de plus de 600 pages dirigé par Alexandre Gady est magistral à plusieurs titres. D'abord par la somme de connaissances, de faits établis méthodiquement qu’il regroupe sur Hardouin Mansart. Puis par la coordination de 54 spécialistes qui ont contribué, chacun dans leur domaine à éclairer la carrière, la fortune, le style, la fabrique de l’architecte, la manière royale, le « grand goût ». Magistral ensuite par la méthode mise en œuvre pour mener l’enquête sur l’authenticité de plus de deux cents bâtiments attribués à Hardouin Mansart. Ainsi cet ouvrage devient ainsi le catalogue de référence des œuvres de Hardouin Mansart où sont distingués les bâtiments royaux, princiers, nobiliaires existants ou détruits, des chapelles et des maîtres-autels, des ouvrages d’art comme les projets pour le port de Sète ou le canal du Midi, pour le Pont royal de Paris (1685)…»
Extrait de la critique de Pascale Mormiche publiée le 7 nov. 2010 sur le site Les Clionautes.
Histara, histoire de l'art, histoire des représentations et archéologie
« Excellemment documentées et illustrées, les entrées sont précieuses pour la qualité de leurs exposés, leur sobriété, leur ouverture vers presque tous les aspects des œuvres partout où cela était possible (ceci est vrai notamment des campagnes menées dans les intérieurs des bâtiments). L'on aurait parfois souhaité une analyse plus complète de tel ensemble décoratif, ou de tel mobilier important (par exemple les orgues de l'église des Invalides). Mais en somme, le catalogue demeurera longtemps une référence pour l’approche des œuvres mansartiennes. »
- Histara, histoire de l'art, histoire des représentations et archéologie Extrait du compte rendu de Milovan Stanic publié en ligne dans Histara, les comptes rendus le 28 mars 2011 |
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9782735111879 |