« Isabelle Tillerot n'en dresse pas moins une étude d'une richesse extrême, explorant la place de Jullienne dans les réseaux sociaux et ceux des collectionneurs, tout en mettant en lumière la spécificité de sa démarche… ».

« Tillerot highlights Jullienne as an early example of the merchant-collector in France and works through the unlikely but intimate connection of his family to the circle of the comtesse de Verrue, a pioneer in the collecting of Flemish painting, but also a representative of a more conventional, aristocratic model in Tillerot's account. The illustrated album of Jullienne’s collection – the survival of which is a remarkable piece of historical luck – allows Tillerot to discuss the means through which Jullienne integrated the longstanding French admiration for Italian painting, newly developing taste for Flemish painting, and his own interest in the contemporary French school.…»

Extrait du compte rendu de David Pullin publié sur le site Enfilade, for Historians of Eighteenth-Century Art and Architecture, 8 août 2011.

« Dans son livre, Tillerot montre ainsi comment la collection de Jullienne, sur le modèle de celle de la comtesse de Verrue, fait une large place aux peintres néerlandais (190-198), mais encore comment le choix des artistes contemporains est en partie dicté par des principes d'imitation (264-271). Ainsi - et c'est là un autre acquis fondamental de cette solide étude -, la collection de Jullienne se présente comme l'une des premières galeries privées à faire prévaloir les liens plastiques et formels entre les œuvres plutôt que leur prix, leur célébrité ou leur ancienneté…»

Extrait du compte rendu du prof. dr. Jan Blanc publié dans Kunstchronik, 64/sept.okt. 2011, p. 492.