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La peinture française en Allemagne, 1815 - 1870 |
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« Soulignons enfin pour conclure le large intérêt de ce livre, au-delà du champ de l'histoire de l’art allemand, pour la connaissance de la réception de la peinture française par les artistes d’Europe centrale. La position de Berlin, puis surtout de Munich, comme grands centres d’enseignement conduit de nombreux élèves polonais ou hongrois à s’inscrire dans les académies de ces villes pour parfaire leur formation. Ces séjours sont souvent pour eux l’opportunité d’un contact avec la peinture française, plus mal diffusée à Varsovie, Cracovie ou Budapest qui ne sont alors que des centres régionaux. S’il faut n’en retenir qu’un témoignage, l’exposition de tableaux de Paul Delaroche, puis celle des peintres belges Gallait et de Biefve, relayant une même conception picturale, … »
- Histara, les comptes rendus Extrait du compte rendu de Stéphane Paccoud publié en ligne sur le site Histara, les comptes rendus le 16 janv. 2012
« Il s'agit là, en effet, d'une vraie thèse. Non parce que cet ouvrage est tiré du doctorat de l'auteur, mais parce que France Nerlich défend ici un position nouvelle s'inscrivant en faux contre une certaine idée de la réception de la peinture français en Allemagne, idée selon laquelle les amateurs allemands n'auraient commencé à s'intéresser à l'art français et à le collectionner qu'avec l'impressionnisme.»
Extrait du compte rendu de Marie Gispert publié dans Annales. Histoire, Sciences sociales N°3/juil.-sept. 2013, p. 116-117. |
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9782735112524 |
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Franz Marc et l'art français du XIXe siècle Passerelles
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