Avant-propos
1. La moralité de la pensée
1.1 La vie bonne comme unité de la théorie et de la pratique
1.2 L'examen critique de soi
1.3 L'obligation de ne pas être chez soi
1.4 L'offensive de la pensée
1.4.1 L'exagération à la mesure de la constitution affective du sujet
1.4.2 L'exagération à la mesure de la constitution érotique de la pensée
1.5 Le devoir d'humilité
2. Le tournant vers l’humanité en morale
2.1 La construction kantienne de la morale
2.1.1 La solution kantienne de l’antinomie de la liberté et de la causalité
2.1.2 La redéfinition de la pratique et son aporie
2.2 La critique de la morale kantienne et la reformulation de l’impératif catégorique
2.2.1 Le problème de la détermination de la volonté
2.2.2 Le moment d’humanité dans la troisième variante de l’impératif catégorique
2.2.3 Le problème du mobile de la volonté
2.3 La fondation charnelle de la morale selon Adorno
2.3.1 Le supplément
2.3.2 La grandeur dans la faiblesse
3. L’antisémitisme nazi : l’envers de la reconnaissance
3.1 Adorno et la politique ?
3.2 Un double angle de vue
3.3 Les Juifs comme référents négatifs à l’identité nazie
3.4 Le pouvoir de l’image
3.5 L’inversion de la reconnaissance
3.6 Soif de pouvoir et vengeance
3.6.1 Au-delà du point de vue instrumental
3.6.2 L’œuvre du ressentiment
3.7 Le besoin d’un bonheur sans ascèse
4. Métaphysique et émancipation après Auschwitz
4.1 La reconduction de la métaphysique par delà Kant
4.2 Mort de l’immortalité ?
4.3 Auschwitz, le règne de la mort
4.4 La métaphysique comme expérience spécifique
4.5 Le petit pan de mur jaune ou le Jugement dernier
Conclusion
|